Formations de base CAP
Formations CAP Boulanger, Pâtissier, Chocolatier-Confiseur
Les préparations INBP aux CAP boulanger, pâtissier, ou chocolatier-confiseur couvrent les référentiels d’examen et inculquent les fondamentaux du métier. Formations pour adultes. Reconversion professionnelle.
CAP Boulanger en 6 mois et demi
Cette formation bénéficie d’une très bonne réputation pour son sérieux et l’excellence des résultats à l’examen. Elle est dispensée par des passionnés qui, avec conviction, transmettent leur savoir-faire et leurs techniques de fabrication de pains et viennoiseries de qualité.
Le métier de boulanger requiert de l’habileté manuelle, une bonne constitution physique pour soutenir les cadences du quotidien, des connaissances techniques, le savoir-être en équipe, l’aptitude au travail d’une matière vivante : la pâte. Et pour les futurs chefs d’entreprise, sens du management et fibre commerciale.
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CAP Boulanger en 6 mois et demi (formation pour adultes)
Au mieux choisie, parfois subie, la reconversion professionnelle est un phénomène moderne souvent décrit dans les médias. Les portraits s’enchaînent, mettant en lumière des parcours singuliers et des changements à 180° tels qu’on peut les observer aussi au sein de l’Institut. C’est l’histoire de cet ex-cadre financier qui se destine à la boulangerie ou encore cette ex-infirmière qui veut se lancer dans la production de pains exclusivement bio. Cordonnier, chauffeur de bus, danseur de claquettes, agriculteur, fonctionnaire de l’armée, pharmacienne, informaticien… l’Institut voit défiler dans ses murs toutes les professions.
Bien avant ce boom de la reconversion professionnelle, dès 1979, l’INBP a créé ce format rapide de formation au CAP boulanger, adapté aux adultes. Cela en fait l’organisme de formation pionnier en la matière.
Aujourd’hui, le portrait type du stagiaire à l’INBP est un homme de 36 ans, mais la moyenne cache des disparités d’âge (de 18 ans à 61 ans dans la dernière promotion). Les participants viennent de la France entière et de l’étranger pour 15% d’entre eux, principalement d’Asie. Les femmes peuvent représenter jusqu’à 30% de l’effectif.
La majorité ne connaît pas les métiers de bouche et découvre l’artisanat.
Qu’ils arrivent sans diplôme ou surdiplômés, quelles que soient leurs professions antérieures, une fois qu’ils ont la toque posée sur la tête, tous les stagiaires sont considérés de la même façon et préparés au mieux, dans un même esprit de réussite, aux épreuves du CAP boulanger. Il est courant de dire à l’INBP qu’au-delà du référentiel de l’examen qui est couvert par la formation, on inculque un socle solide de connaissances, sur lequel le boulanger pourra s’appuyer tout au long de sa carrière. Pas de fondation durable, sans de solides bases !
S’installer en France (CAP obligatoire), développer une activité à l’étranger, créer un concept original, devenir ouvrier boulanger : quel que soit le projet, les formateurs insistent sur la nécessité de pratiquer en entreprise, après la formation, afin de bien s’imprégner des cadences et des réalités du terrain.
Commencez par le début : le CAP boulanger !
Votre choix est arrêté. C’est boulanger que vous voulez faire !
Vous êtes en reconversion professionnelle, en réorientation scolaire, vous exercez déjà un métier de bouche, vous cherchez une école de boulangerie française de référence, vous venez de l’étranger et maîtrisez le français… venez préparer le CAP, votre premier diplôme.
CAP Pâtissier en 8 mois
Cette formation, très bien notée par les stagiaires eux-mêmes, est dispensée par des formateurs fiers de transmettre leur expertise.
Le métier de pâtissier nécessite une habileté manuelle, des connaissances techniques, la rigueur dans l’application des process, le respect des règles d’hygiène et de sécurité alimentaire, un intérêt pour les goûts et les saveurs. Sens artistique et créativité sont des plus. S’attendre à des stations debout prolongées.
Aptitudes au commerce, à la gestion et à la direction d’équipe concernent les chefs d’entreprise.
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CAP Pâtissier en 8 mois (formation pour adultes)
Que de fantasme autour de la pâtisserie, d’autant plus qu’elle s’expose magnifiquement partout, dans des livres sublimes, sur les réseaux sociaux alimentés par des professionnels de haut vol, dans des concours d’excellence ! Poussée à son sommet, on la compare à la haute couture.
Au quotidien, la pâtisserie se conjugue plus simplement dans les boutiques. Elle n’en est pas moins remarquable et toujours source de plaisir.
Alors pas étonnant qu’elle attire tant d’adultes en voie de reconversion professionnelle, mais aussi des professionnels cherchant à gagner en polyvalence dans leur boulangerie-pâtisserie.
Bien avant que ce phénomène de reconversion professionnelle s’amplifie, dès 1980, l’INBP a imaginé cette formation rapide au CAP pâtissier, parfaitement adaptée à un public d’adultes. Le programme est réactualisé au fil des évolutions du référentiel d’examen.
Le recrutement est national. Environ 15% de personnes viennent de l’étranger. La moyenne d’âge est d’environ 35 ans, mais toutes les générations sont représentées. Hommes et femmes sont autant attirés par ce métier. Avant d’entrer en formation, les participants sont peu nombreux à connaître le secteur.
Le travail de l’équipe pédagogique consiste donc à préparer, dans les meilleures conditions, des personnes issues de secteurs professionnels très divers, ayant occupé des fonctions de toute nature, bien loin d’un laboratoire de pâtisserie. C’est en instaurant une bonne dynamique de groupe que les formateurs permettent à chaque stagiaire de relever le défi du changement.
Le taux de réussite à l’examen est remarquable. Mais il importe surtout à l’équipe pédagogique d’apporter aux participants les bases indispensables à l’exercice de la pâtisserie. L’artisanat passe par le geste et la réflexion.
Après la formation, la pratique en entreprise est indispensable. Elle permet de se connecter au réel et d’évaluer toute la dimension professionnelle du métier avant de se lancer dans son projet.
Salariés en pâtisserie (en boutique ou en restaurant) ou chefs d’entreprise – après expérience – sont les débouchés les plus courants, en France et à l’international.
C’est le CAP pâtissier qu’il vous faut !
Le métier de pâtissier vous inspire ? Alors c’est le CAP qu’il vous faut !
En reconversion professionnelle, en réorientation scolaire, déjà dans un métier de bouche, en quête d’une école de pâtisserie de renom, public international maîtrisant le français… Cette formation est conçue pour vous.
CAP Chocolaterie-confiserie en 6 mois et demi
La préparation au CAP chocolaterie-confiserie permet d’acquérir les bases du métier. A l’Institut, c’est dans une ambiance de passionnés qu’elles sont enseignées avec toute la rigueur de fabrication qui s’impose.
A quoi reconnaît-on un bon confiseur chocolatier ? A ses gestes assurés et précis, à ses connaissances en technologie, à sa parfaite organisation au laboratoire, à sa capacité à respecter tous les process de fabrication, à son exigence en termes d’hygiène et de sécurité, à son ouverture d’esprit. On attend de lui une signature.
Le chocolat est de plus en plus plébiscité. La qualité plaît aux consommateurs devenus plus avertis. Pour que le travail artisanal soit respecté, il convient de leur offrir le meilleur et savoir évoluer.
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CAP Chocolatier-confiseur en 6 mois et demi (formation pour adultes)
S’il est un métier de bouche qui fait tout particulièrement rêver, c’est bien celui de chocolatier-confiseur !
Chocolats et sucres : la matière première est noble et permet d’exprimer autant son talent créatif que de se réaliser dans un travail manuel d’exception. C’est un des segments de la pâtisserie française qui offre un large champ aux esprits les plus inventifs. D’une simple bouchée au chocolat à la pièce de sucre d’art, l’esthétisme doit être au rendez-vous.
Confiseries, bonbons et chocolats, c’est aussi une affaire de goûts, de textures, de mariages subtils. Leur production doit être entièrement maîtrisée : depuis la sélection des matières premières jusqu’à la mise en rayon au magasin.
La chocolaterie artisanale s’exerce en boutique, dans les boulangeries-pâtisseries, dans les chocolateries pures, dans quelques restaurants et surtout les palaces. Certains professionnels se spécialisent dans une distribution uniquement en ligne. C’est le cas d’anciens de l’INBP !
Après préparation à l’INBP, le taux de réussite à l’examen est remarquable.
Après la formation, les formateurs insistent sur la nécessité de pratiquer en entreprise. Etre salarié avant l’installation est plus que conseillé ! Le CAP représente la première étape de la professionnalisation.
Bienvenue dans votre nouveau métier de chocolatier-confiseur !
Tempérage, trempage, enrobage, ça vous parle ? Pas encore, mais bientôt !
En choisissant l’INBP, vous avez l’assurance d’être encadrés par un professionnel expérimenté, ouvert aux tendances, mais qui saura vous rappeler que les bases sont incontournables pour vous lancer dans cet univers créatif.
Vous intégrerez un groupe composé d’adultes en reconversion professionnelle, de jeunes adultes en réorientation scolaire, de quelques personnes issues du secteur alimentaire et un public international comprenant le français (environ 15%).